droit d auteur

Le combat pour réduire au maximum le domaine public

...
pourquoi un écrivain accepte des droits auteur dérisoires ?
Ah ! Comme une multinationale aimerait trouver la subtilité
juridique pour réintroduire à son profit des droits d’auteur aux
livres du domaine public. Balzac, Molière, Hugo, Sénèque…
quitte même à partager cette galette avec une caisse chargée de
subventionner des écrivains amis auxquels il serait ainsi encore
plus aisé de faire accepter des droits d’auteur rikiki.

Car l’écrivain accepte toujours des droits d’auteur dérisoires
quand il espère, finalement, ainsi obtenir les meilleures
conditions possibles : meilleures ventes grâce à la publicité,
passages à la télévision, articles de chroniqueurs édités par la
même maison, en lice pour un prix littéraire dans lequel l’éditeur
possède de nombreuses relations…

Un extrait de l'essai Le livre numérique, fils de l'auto-édition
informations .

Le 20eme siècle aura été celui du combat pour retarder au
maximum la tombée des oeuvres dans le domaine public. Certes
pas que les éditeurs ou producteurs se soucient des héritiers des
écrivains. Ces plus grandes « avancées » furent obtenues grâce
au lobbying de Disney…

Qu’est-ce qu’on en a à foutre que nos héritiers touchent des
droits 70 ans après notre disparition ?




Ajout avis ou expérience

- le 22 juillet 2011 à 22 : 45
par daniel : c'est effectiovement un combat que d'essayer de réduire le domaine public !



Voir sujet précédent du forum
Si vous souhaitez aborder un autre sujet : Vous pouvez débuter un nouveau sujet en respectant le thème du site.